Pareil ! Un disque qui a tout du truc totalement chiant, du rock indé de vieux, au secours, mais qui, étrangement, ne quitte pas la platine, en mode ('scuse Oedipe !) replay (6 virgules dans la même phrase, ça commence à faire).
Merci de rappeler à nos mémoire ce magnifique "I Can Hear The Heart Beating As One" de Yo La Tengo. Un grand disque des 90's rarement cité qui navigue entre Indie, Noise-pop, Shoegaze, Folk ou bossa nova sur un titre......Une vaste partouze façon Yo La Tengo où l'on trouve même des bribes de field recording, comme tu l'as si justement noté (je n'y avais jamais pensé).
Et j'aime ce post référence au débat chez Mr Ghosn, clin d'oeil caustique bourré d'humour (noir) typique CroCnique !!! A +
Débat je sais pas, en tous cas il semblerait que la fièvre soit retombé. Sacré Jacques tout de même. Le lire est toujours source de réjouissance (je crois ne pas être seul). Je me rappelle la larme à l'oeil quand il sévissait dans le canard où Comelade nous gratifiait de ses "écrits monophoniques submergés". Ses interviews médiumniques étaient tout simplement TERRIBLES !
Pfffiiou ce Fade est vraiment aussi magnifique qu'inattendu.. Stupid Things tourne en boucle à la maison depuis quelques jours..
RépondreSupprimerPareil ! Un disque qui a tout du truc totalement chiant, du rock indé de vieux, au secours, mais qui, étrangement, ne quitte pas la platine, en mode ('scuse Oedipe !) replay (6 virgules dans la même phrase, ça commence à faire).
RépondreSupprimerMerci de rappeler à nos mémoire ce magnifique "I Can Hear The Heart Beating As One" de Yo La Tengo. Un grand disque des 90's rarement cité qui navigue entre Indie, Noise-pop, Shoegaze, Folk ou bossa nova sur un titre......Une vaste partouze façon Yo La Tengo où l'on trouve même des bribes de field recording, comme tu l'as si justement noté (je n'y avais jamais pensé).
RépondreSupprimerEt j'aime ce post référence au débat chez Mr Ghosn, clin d'oeil caustique bourré d'humour (noir) typique CroCnique !!!
A +
Débat je sais pas, en tous cas il semblerait que la fièvre soit retombé.
RépondreSupprimerSacré Jacques tout de même.
Le lire est toujours source de réjouissance (je crois ne pas être seul).
Je me rappelle la larme à l'oeil quand il sévissait dans le canard où Comelade nous gratifiait de ses "écrits monophoniques submergés". Ses interviews médiumniques étaient tout simplement TERRIBLES !