DDT regroupe des histoires "de viol, de meurtres et d'incestes" (Le Lézard Noir sait comment nous aguicher dans son avant propos !) datant du début des années 80.
On a, là, la quintessence de Maruo qui s'y révèle en totale roue libre, s'intéressant aussi bien aux Joies du Prolétariat qu'à une Chatte Avariée.
Je ne crois pas avoir lu cette année livre plus dérangeant, choquant et, il faut bien le dire, excitant (oui, notamment au sens sexuel du terme). Mais le pire, j'ai envie de dire, est que toutes ces histoires sont aussi nimbées d'un romantisme toujours un peu déstabilisant. La preuve, mesdames, avec cette phrase définitive, balancée page 131, qui, j'espère, vous fera réfléchir : "les bavardes ne savent pas tailler de pipe."
Bonne lecture.
Çà sent la Bataille !
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