Imaginez un croisement entre un David Bowie des caniveaux et du TV Personalities glam qui jouerait un mélange de punk, de folk et de pop et vous aurez une vague idée de la musique génialement à côté de la plaque de l'excentrique (cliché) John Otway, accompagné sur ses 2 premiers albums par un guitariste furibard, le bien nommé Wild Willy Barrett.
L'anglais, sur la seule foi du single Really Free, qui atteint la 27ème place des charts en 1977, réussit à signer un contrat de 5 albums avec Polydor. Pour son premier album, la maison de disque lui offre même Pete Townshend comme producteur, toute contente, j'imagine, d'avoir mis la main sur une nouvelle icône punk, c'te bonne blague ! Dans les bureaux de Polydor, ils ont dû rire jaune assez vite à la vue des ventes de disques de leur bête à chagrin. Mais le grand Art n'a pas de prix.
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J'aime beaucoup ton virage pub-rock. Après The Saints, c'est parfait (ben oui y'en a qui suivent). Ouais, j'ai une putain d'histoire d'amour avec les pubs (comme tout le monde), et merde, promis juré, j'écouterai attentivement les musiciens pseudo irlandais qui maltraitent leurs guitares devant des filles au pair ivres, je cesserai de leur jeter des cailloux (extérieur) ou de cracher sur leurs visages (intérieur). Je les respecterai enfin.
RépondreSupprimerthe glass key