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vendredi 15 août 2014

lundi 21 avril 2014

"that was wonderful !"



Un mois et demi après cette improbable prestation chez David Letterman, je ne sais toujours pas trop quoi penser de Future Islands et de Singles, leur nouvel album.
Parce que Future Islands c'est un peu comme si votre beau-frère ingénieur en informatique, alerte t-shirt rentré dans le futal, avec, au synthé, son collègue, fan de A-Ha depuis la première heure, et, à la basse, son ami d'enfance, rencontré en 5ème au club d'échec, s'étaient mis en tête de faire renaître le rock héroïque en 2014 (!) avec tant d'enthousiasme et de sincérité qu'il serait juste impossible de se foutre de leurs gueules et de rester insensible à leurs refrains, véritables morceaux de bravoure taillés pour le stade du Premier-Mai qui redonneraient presque foi en la vie.

Future Islands : Singles (4AD, 2014)

mardi 18 juin 2013

Zomby : With Love


C'est sûr qu'il  y a risque d'overdose avec un double album de Zomby, mais bon vu que c'est fait avec amour...

Zomby : With Love (4AD, 2013)


dimanche 12 mai 2013

The National : Trouble Will Find Me


J'ai pas écouté le Miles, j'ai pas écouté le Juan Atkins & Moritz Von Oswald, j'ai pas écouté le Kareem. 

The National : Trouble Will Find Me (4AD, 2013)

mardi 30 août 2011

Modern English : Dance Of Devotion (A Love Song)


Ce titre de Modern English me ramène à cette époque où j'empruntais encore des vinyles à la discothèque municipale. Mes choix se basaient généralement sur les pochettes, du coup, je me retrouvais souvent avec des disques 4AD ou Factory dans les mains, normal ! C'est comme ça que j'ai découvert Durutti Column avec The Guitar And Other Machines et Modern English avec Mesh & Lace, leur premier album qui se clôture en apothéose avec ce Dance Of Devotion (A Love Song).

Grâce à tous ces 33 tours que je ramenais à la maison, la platine Thorens de papa a eu le droit à une seconde vie, trônant par terre en plein milieu du salon, attention à ne pas se prendre les pieds dans les fils ! une belle revanche sur la platine CD qui l'avait un temps reléguée au fond du placard de la chambre d'amis, au-dessus des manteaux démodés suspendus que maman ne mettait plus (ils y sont toujours mais maman n'est plus), juste à côté des vieux draps qu'on laissait enfin dormir tranquillement. Je me souviens avoir écouté en boucle sur cette machine cette étrange love song. J'étais totalement fou, je le suis encore, du son brut de la batterie, soutenue par la sublime ligne de basse, qui explosait après la longue intro cauchemardesque.

Je découvrais ce Mesh & Lace incandescent qui brûle ses 8 titres parfaits dans une énergie toute juvénile à vous donner des frissons, littéralement ! Mieux que ça , j'avais enfin mis la main sur ce 3ème album de Joy Division qui n'existe pas, un Joy Division bien vivant, plus fiévreux que jamais et moins cérébral. Un Joy Division qui chlingue des dessous de bras.

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