Nan mais merde, comment John G. Avildsen a pu signer,  tout juste à la sortie des 60's, ce 
brûlot acerbe façon "
pissin' up on America" pour finir la décennie d'après par réaliser une série de fables sur le rêve américain comme 
Karaté Kid I, 
II et III  ?
 
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