Eric, Lionel, Nicolas... et les autres

Cette fois-ci, Paul et Guillaume se sont associés avec Etienne et Adrien pour nous offrir ce soir une superbe affiche (au sens figuré), comme à leur habitude.
Après avoir martelé les esprits lors de la précédente édition du festival avec son projet techno, Dominique revient cette année finir le boulot sous son premier alias. De toute façon, il ne restera plus grand chose de nos oreilles après le passage sur scène d'Eric, Lionel et Nicolas. En ouverture à 20h pétantes, Jacques, le frenchie qui a sorti son drôle de premier album sur L.I.E.S., proposera son nouveau live avec "un morceau (...) où l’idée est vraiment de te faire passer un boeing sur la gueule". Quant à Oscar, il viendra remplacer au pied levé Margaret qui a égaré son passeport.
Avec tout ça, on devrait se coucher un peu plus tard qu'hier soir. En tout cas, une sacrée soirée en perspective.

Mondkopf : Hadès

Faites sonner les trompettes, la France a un incroyable talent !
Regardez-moi ça si ce n'est pas beau ce jeune, qui ne sort en club que tout vêtu de noir (il se peut d'ailleurs que vous le croisiez un de ces quatre avec un t-shirt Sister Iodine sur le dos), en train de foudroyer sur son computer ce black metal, qui lui est cher au coeur (teasing : vous en aurez bientôt la preuve ici-même), pour le réduire en un tas de gravas électronique incandescent.
Toute la beauté romantique d'Hadès se dévoile réellement quand on s'enfonce plus profondément au cœur des ténèbres, dans sa deuxième moitié, pour atteindre son royaume, là où on n'entend plus battre son pouls ou alors seulement au ralenti.

A noter que le 22 février prochain Mondkopf jouera live son nouvel album non pas sous la terre, dans une cave, mais au 1er étage de la Gaîté Lyrique.

Mondkopf : Hadès (In Paradisum, 2014)

Forest Swords : Engravings

Je sens bien que ce premier album de Forest Swords sur Tri Angle, ce label de puceaux que j'ai instinctivement envie de haïr (ne me demandez pas pourquoi, c'est comme ça !), surfe sur une bonne partie des sons du moment pour assurer une street credibility au top à son auteur comme à ses auditeurs. Malgré tout, il faut bien l'avouer, difficile de résister à cet easy listening qui se rêve expérimental.

Matthew Barnes sera aux côtés de Daniel Lopatin le vendredi 27 septembre pour une soirée concoctée avec amour par ces très chers garçons d'In Paradisum. Faut v'nir.

Forest Swords : Engravings (Tri Angle, 2013)

Somaticae live @ Glazart, Paris, le 30 août 2013

 

Fines les vacances. Zgougou les p'tits déj' à midi dans le jardin "et on déjeune quoi après ? Ah, ouais, faut finir le taboulé !", zgougou les après-midis chaise longue "Chrisina, on va se baigner après ou on fait l'amour ?", zgougou les fins de soirées les yeux dans le ciel "elle est où la Petite Ourse ?" 

Retour à la réalité : alors, au lieu de pleurer, fêtons ça dans la violence vendredi soir au Glazart.

Somaticae : Catharsis

In infernus plutôt, nan ?

Somaticae : Catharsis (In Paradisum, 2013)

Weekenders

Bon, et bien demain soir on remet ça, plutôt deux fois qu'une d'ailleurs, même si on n'a plus trop l'âge de jouer les weekenders.
Mais comment faire autrement vu le programme ?

Instant Bonheur

Instant bonheur : Surgeon qui mixe du Reload hier soir à la soirée In Paradisum. (petit rappel : Mosh est extrait de mon disque de techno/electronica favori : A Collection of Short Sories.)

In Paradisum IX @ La Machine, Paris, le 22 mars 2013

J'm'étais juré d'aller à la précédente soirée In Paradisum et finalement j'étais resté sous la couette, cette fois-ci, promis, j'y serai, guest list ou pas ! Et même si c'est à La Machine, beurk.