Adolf, puisses-tu être entendu !
Comment ne pas faire confiance à un homme qui souhaitait que l'on inscrive sur sa tombe, qu'il avait lui-même dessinée : "Adolf Loos : qui a libéré l'humanité du travail superflu." À sa mort, en 1933, Vienne fit construire sa tombe selon ses plans mais sans l'épitaphe, bien entendu !
Un faux air de Giorgio Armani en plus!
RépondreSupprimerPlus que 2 semaines avant Under the Skin. Le roman était déjà bien, alors un film de Glazer...