Oublié et mésestimé (les deux vont ensemble), ce mélodrame de Sidney Pollack tout en retenu (à l'instar d'un Al Pacino ici sans cabotinage, ça fait du bien !), réalisé juste après Les Trois Jours du Condor, aurait très bien pu s'intituler Le Temps d'Aimer et Le Temps de Mourir ou Le Ciel n'a pas de Préférés mais finalement il s'appelle un peu connement Bobby Deerfield.
(Thanks Bazooka)
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