Pas terrible ce "L'étrange vice de Madame Wardh" pourtant souvent cité par les fanas du genre : interprétation très médiocre, mise en scène brouillonne et dénouement qui paraît improvisé. Il faut dire que le vice de Martino, lui, n'a rien d'étrange : il préfère les fesses et les seins aux assassins. Alors est-il nécessaire de se taper un giallo rasoir pour mater des femmes à poil ? Au spectateur de trancher...
Scream Queen quatre étoiles, plus délicieusement vulgaire que Barbara Steele, plus onctueuse et intense que Barbara Bach et Caroline Munro réunies dans le waterbed d'Ursula Andress, Edwige Fenech est l'argument principal de L'Etrange Vice de Mme Wardh, qui n'aurait vraisemblablement de sens sans elle (comme souvent les films dans lesquels elle avance en « starring »). Icône masochiste au sein de réguliers cauchemars à la plastique plus-psyché-tu-meurs, la belle brune, peu regardante (voir ses softies grivois en pensionnat, commissariat ou hôpital) mais fort regardée, se fait la docile et inlassable victime de la hardiesse, ou la plus vénale envie, de tout son entourage. Toujours porteuse d'un secret (your vice is a closed room and only I have the key !), d'un passé trouble, d'un trauma baroquement fondateur, la vulnérable brunette est sans coup férir la cible toute désignée pour qu'époux, amants, ex-, voisines, frangines, ourdissent, concupiscent, manipulent, manigancent afin accessoirement de la mettre sur la paille. Plus souvent encore de la foutre à poil.
(la suite à lire ici: http://eightdayzaweek.blogspot.com/2010/02/quel-film-avons-nous-vu-ce-jour_3393.html)
NB: appréciant les lieux, j'ai blogrollé votre page sur la mienne, cher confrère de bon goût.
NB2: c'est moi ou le lien megaupload sur le soundtrack n'est pas le bon (ce sont les sous-titres du film)
Nécessaire ? Je dirai plutôt indispensable pour tout ceux qui veulent se mater des femmes à poil avec de vraies rondeurs !
Par ailleurs, il me semble que les bellâtres ténébreux aux regards bovins et en sous-pulls orange, les nanas aux brushings pas possible et aux poitrines généreuses et les dénouements à la mords-moi-le-noeud sont des éléments intrinsèques aux gialli ! Ces "défauts" participent autant au charme de ces films que les éclairs de génie qui les traversent !
Pas terrible ce "L'étrange vice de Madame Wardh" pourtant souvent cité par les fanas du genre : interprétation très médiocre, mise en scène brouillonne et dénouement qui paraît improvisé. Il faut dire que le vice de Martino, lui, n'a rien d'étrange : il préfère les fesses et les seins aux assassins. Alors est-il nécessaire de se taper un giallo rasoir pour mater des femmes à poil ? Au spectateur de trancher...
RépondreSupprimerScream Queen quatre étoiles, plus délicieusement vulgaire que Barbara Steele, plus onctueuse et intense que Barbara Bach et Caroline Munro réunies dans le waterbed d'Ursula Andress, Edwige Fenech est l'argument principal de L'Etrange Vice de Mme Wardh, qui n'aurait vraisemblablement de sens sans elle (comme souvent les films dans lesquels elle avance en « starring »). Icône masochiste au sein de réguliers cauchemars à la plastique plus-psyché-tu-meurs, la belle brune, peu regardante (voir ses softies grivois en pensionnat, commissariat ou hôpital) mais fort regardée, se fait la docile et inlassable victime de la hardiesse, ou la plus vénale envie, de tout son entourage. Toujours porteuse d'un secret (your vice is a closed room and only I have the key !), d'un passé trouble, d'un trauma baroquement fondateur, la vulnérable brunette est sans coup férir la cible toute désignée pour qu'époux, amants, ex-, voisines, frangines, ourdissent, concupiscent, manipulent, manigancent afin accessoirement de la mettre sur la paille. Plus souvent encore de la foutre à poil.
RépondreSupprimer(la suite à lire ici: http://eightdayzaweek.blogspot.com/2010/02/quel-film-avons-nous-vu-ce-jour_3393.html)
NB: appréciant les lieux, j'ai blogrollé votre page sur la mienne, cher confrère de bon goût.
NB2: c'est moi ou le lien megaupload sur le soundtrack n'est pas le bon (ce sont les sous-titres du film)
Nécessaire ? Je dirai plutôt indispensable pour tout ceux qui veulent se mater des femmes à poil avec de vraies rondeurs !
RépondreSupprimerPar ailleurs, il me semble que les bellâtres ténébreux aux regards bovins et en sous-pulls orange, les nanas aux brushings pas possible et aux poitrines généreuses et les dénouements à la mords-moi-le-noeud sont des éléments intrinsèques aux gialli !
Ces "défauts" participent autant au charme de ces films que les éclairs de génie qui les traversent !
Si y a du sous-pull orange alors, ça change tout...
RépondreSupprimerMerci !!
RépondreSupprimerEh Crocnique, reconnais-le, Edwige Fenech c'est quand même autre chose que Roxane Mesquida...
RépondreSupprimerhttp://humungus-cinebisart.blogspot.fr/2013/01/letrange-vice-de-mme-wardh-1971-sergio.html
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